Dès son arrivée ce petit bonhomme nous a montré) son courage et sa détermination. On avait l’impression qu’il savait qu’il avait une mission à accomplir et qu’il allait faire en sorte de la faire jusqu’au bout.
Peu communicatif, il n’était pas demandeur de câlins mais spontanément, dès les premières minutes à l’aéroport, il a été fusionnel avec mon mari qu’il a appelé « Tata-be » donc grand-père.
Pendant son hospitalisation il s’est accroché pour ne pas se laisser aller. Quand j’arrivais il ne montrait aucun signe de joie ou soulagement mais pleurait un peu parait-il après mon départ.
Chez nous il a pu rencontrer nos petits-enfants, découvrir des jouets mais il n’a jamais abandonné ses propres jouets qui étaient 2 petites branches de palmiers, cueillies chaque jour sur notre petit arbre et avec lesquelles il jouait pendant des heures, sagement, les faisant communiquer l’une avec l’autre par des bruits, paroles et mouvements de batailles.
Le plus dur a été de le voir bravement prendre la main de l’hôtesse accompagnatrice au moment du départ à l’aéroport en nous lançant un regard en arrière, nous faisant comprendre que c’était son devoir.
Peu communicatif, il n’était pas demandeur de câlins mais spontanément, dès les premières minutes à l’aéroport, il a été fusionnel avec mon mari qu’il a appelé « Tata-be » donc grand-père.
Pendant son hospitalisation il s’est accroché pour ne pas se laisser aller. Quand j’arrivais il ne montrait aucun signe de joie ou soulagement mais pleurait un peu parait-il après mon départ.
Chez nous il a pu rencontrer nos petits-enfants, découvrir des jouets mais il n’a jamais abandonné ses propres jouets qui étaient 2 petites branches de palmiers, cueillies chaque jour sur notre petit arbre et avec lesquelles il jouait pendant des heures, sagement, les faisant communiquer l’une avec l’autre par des bruits, paroles et mouvements de batailles.
Le plus dur a été de le voir bravement prendre la main de l’hôtesse accompagnatrice au moment du départ à l’aéroport en nous lançant un regard en arrière, nous faisant comprendre que c’était son devoir.